Ce n’est pas tout à fait exact que la musique adoucit les moeurs. Je crois même que l’harmonie, un peu en excès, amène l’homme le mieux constitué à un état d’hébétude et de gâtisme tout à fait folâtre.
La volupté unique et suprême de l'amour gît dans la certitude de faire le mal. Et l'homme et la femme savent de naissance que dans le mal se trouve toute volupté.
L'Humanité bavarde, ivre de son génie, Et, folle maintenant comme elle était jadis, Criant à Dieu, dans sa furibonde agonie : " Ô mon semblable, ô mon maître, je te maudis ! "