La méchanceté est l'esprit ...

La méchanceté est l'esprit de la critique, et la critique est à l'origine du progrès et des lumières de la civilisation.
 Thomas Mann

Citations liés

L'humanité s'installe dans la mono-culture ; elle s'apprête à produire la civilisation en masse, comme la betterave. Son ordinaire ne comportera plus que ce plat.
 Claude Lévi-Strauss
L'homme n'est vraiment libre que dans l'amour tel que la civilisation européenne l'a créé : c'est l'état qui rend le plus profondément insupportable tout ce qui est faux.
 Laszlo Krasznahorkai
On ne comprend absolument rien à la civilisation moderne si l'on n'admet pas tout d'abord qu'elle est une conspiration universelle contre toute espèce de vie intérieure.
 Georges Bernanos
Les Etats-Unis sont passés directement de la barbarie à la décadence sans passer par la civilisation.
 Anonyme
Je suis persuadé que nous nous trouvons actuellement au bord de l'anéantissement de notre civilisation.
 Andreï Tarkovski

Citations du même auteur

Oh ! l'amour n'est rien, s'il n'est pas de folie, une chose insensée, défendue et une aventure dans le mal. Autrement c'est une banalité agréable, bonne pour en faire de petites chansons paisibles dans les plaines.
 Thomas Mann
Ce que nous appelons bonheur consiste dans l'harmonie et la sérénité, dans la conscience d'un but, dans une orientation positive, convaincue et décidée de l'esprit, bref dans la paix de l'âme.
 Thomas Mann
La beauté, la beauté seule est divine et visible à la fois, et ainsi, c'est par elle que l'on s'achemine au sensible; c'est par elle que l'artiste s'engage dans les chemins de l'esprit.
 Thomas Mann
On ne veut jamais que son destin.
 Thomas Mann
La vie, jeune homme, est une femme étendue, avec des seins rapprochés et gonflés, avec un grand ventre lisse et mou entre les hanches saillantes, avec des bras minces, des cuisses rebondies et des yeux mi-clos, qui dans sa provocation magnifique et moqueuse exige notre ferveur la plus haute, toute la tension de notre plaisir de mâle qui lui tient tête ou qui est fichu.
 Thomas Mann