La solitude est une sorte de tare : elle a un subtil parfum de tristesse, quelque chose qui n'attire, ni n'intéresse personne, et on en a un peu honte.
Sans doute le bruit courait-il que je l'avais ensorcelée ou que j'étais un baiseur de première. Au point que je me demandais parfois s'il n'y avait pas comme un parfum de vérité là-dessous.
Comme un éclat de rire Vient consoler tristesse, Comme un souffle avenir Vient raviver les braises, Comme un parfum de soufre Qui fait naître la flamme Quand, plongé dans le gouffre, On sait plus où est l'âme
L'art de la femme doit être un art né de la chair de la matrice et non des cellules du cerveau..., elle doit créer ce que l'homme a détruit originellement, ce monde de l'unité créé par Dieu et que la conscience trop fière de l'homme a ébanlé et divisé.