Je vivais d'elle, par elle, ...

Je vivais d'elle, par elle, pour elle ; j'aurais déjeuné de ses sourires et dîné de l'odeur de ses gants.
 Georges Courteline

Citations liés

Le regard tourné vers ses yeux verts et vifs comme la jalousie, je ne voyais plus que lui. Il s'est penché, nos bouches se sont effleurées et nos bras enlacés. Son contact, son odeur, son goût... j'ai cru que mon cœur allait éclater.
 Gabrielle Zevin
Moi, pour la modestie, je ne crains personne ! Odeur du temps. Chroniques du temps qui passe, aux éditions Héloïse d'Ormesson, (ISBN 978-2-266-17930-0) ; dans un entretien, Jean d'Ormesson attribue ce propos à un cardinal espagnol.
 Jean d'Ormesson
L'amour ! Alors on aime un appareil respiratoire, un tube digestif, des intestins, des organes d'évacuation, un nez qu'on mouche, une bouche qui mange, une odeur corporelle ? Si on pensait à cela, comme on serait moins fou !
 Paul Léautaud

Citations du même auteur

On s'explique mal que nombre de gens aiment mieux prêter de l'argent, au risque de le perdre, que rembourser celui qu'ils doivent.
 Georges Courteline
Entre les trous de sa cervelle les mauvais souvenirs passaient sans laisser trace, comme passe de l'eau à travers un tamis.
 Georges Courteline
L'orgueil, ce parasite, Fils du sot amour-propre et de la vanité, Conseille mal les gens dont il est écouté.
 Georges Courteline
On change plus facilement de religion que de café.
 Georges Courteline
Au pardon qui sourit la sagesse commence ; Il n'est pas qu'équité sans un peu de clémence.
 Georges Courteline