Je suis morte, j'ai subi mon ...

Je suis morte, j'ai subi mon destin. C'est le regret, le chagrin de ton absence, mon noble Ulysse, et le souvenir de ta douceur qui m'ont ôté la vie.
 Homère

Citations liés

Le plus grand courage n’est pas de ne pas pleurer, mais de se relever et continuer à avancer malgré le chagrin.
Ne pas être capable de dire adieu peut être l'une des formes les plus douloureuses du chagrin, car cela signifie que vous ne pouvez pas accepter votre perte et aller de l'avant avec votre vie.
Y'en a marre de toi et de tes sermensonges, des oui qui veulent dire non, de tes promesses énormes qui fondent tout de suite, et laissent des chagrins aussi poisseux qu'une barbe-à-papa.
 Marie-Sabine Roger
Parfois, le plus grand acte de courage est simplement de continuer à avancer malgré la douleur et le chagrin que nous ressentons en chemin.

Citations du même auteur

L'Aurore aux doigts de roses les eût trouvés pleurant, sans l'idée qu'Athéna, la déesse aux yeux pers, eut d'allonger la nuit qui recouvrait le monde : elle retint l'Aurore aux bords de l'Océan, près de son trône d'or, en lui faisant défense de mettre sous le joug pour éclairer les hommes, ses rapides chevaux Lampos et Phaéton, les poulains de l'Aurore.
 Homère
L'audace vaut mieux en toute affaire quand on veut réussir, surtout à l'étranger.
 Homère
Je suis morte, j'ai subi mon destin. C'est le regret, le chagrin de ton absence, mon noble Ulysse, et le souvenir de ta douceur qui m'ont ôté la vie.
 Homère
Ô Muse, conte-moi l'aventure de l'Inventif : celui qui pilla Troie, qui pendant des années erra, voyant beaucoup de villes, découvrant beaucoup d'usages, souffrant beaucoup d'angoisses dans son âme sur la mer pour défendre sa vie et le retour de ses marins sans en pouvoir sauver un seul, quoi qu'il en eût ; par leur propre fureur ils furent perdus en effet, ces enfants qui touchèrent aux troupeaux du dieu d'En Haut, le Soleil qui leur prit le bonheur du retour... À nous aussi, Fille de Zeus, conte un peu ces exploits !
 Homère
Chante, déesse, la colère d'Achille, le fils de Pélée ; détestable colère, qui aux Achéens valut des souffrances sans nombre et jeta en pâture à Hadès tant d'âmes fières de héros, tandis que de ces héros mêmes elle faisait la proie des chiens et de tous les oiseaux du ciel — pour l'achèvement du dessein de Zeus. Pars du jour où une querelle tout d'abord divisa le fils d'Atrée, protecteur de son peuple, et le divin Achille.
 Homère