J'allais chanter, sur le ...

J'allais chanter, sur le rythme héroïque, les armes, la fureur des combats ; au sujet convenait le maître : le second vers était égal au premier. On dit que Cupidon se mit à rire et qu'il y retrancha furtivement un pied.
 Ovide

Citations liés

Quiconque combat des monstres doit s'assurer qu'il ne devient pas lui-même un monstre, car, lorsque tu regardes au fond de l'abîme, l'abîme aussi regarde au fond de toi.
L'hypocrisie est morte ; on ne croit plus aux prêtres; Mais la vertu se meurt, on ne croit plus à Dieu. Le noble n'est plus fier du sang de ses ancêtres ; Mais il le prostitue au fond d'un mauvais lieu. On ne mutile plus la pensée et la scène, On a mis au plein vent l'intelligence humaine ; Mais le peuple voudra des combats de taureau. Quand on est pauvre et fier, quand on est riche et triste, On n'est plus assez fou pour se faire trappiste ; Mais on fait comme Escousse, on allume un réchaud.
La vie est un combat dont la palme est aux Cieux !
 Casimir Delavigne
Tout art, toute philosophie peuvent être considérés comme des remèdes de la vie, adjuvants de sa croissance ou baume des combats : ils postulent toujours et souffrance et souffrants.
Quiconque lutte contre des monstres devrait prendre garde, dans le combat, à ne pas devenir monstre lui-même. Et quant à celui qui scrute le fond de l'abysse, l'abysse le scrute à son tour.

Citations du même auteur

Tant que tu seras heureux, tu compteras beaucoup d'amis. Que le ciel s'obscursisse et tu seras tout seul.
 Ovide
Je sens mon cœur inconstant tiraillé entre l'amour et la haine qui se livrent combat ; mais, je le crois, c'est l'amour qui l'emporte. Je haïrai, si je le puis ; sinon, j'aimerai, mais malgré moi. Le taureau non plus n'aime pas le joug ; il ne porte pas moins ce qu'il hait. Je fuis sa perfidie ; pendant que je fuis, sa beauté me rappelle. J'abhorre les défauts de ton âme et j'aime ton corps. Ainsi je ne puis vivre ni sans toi ni avec toi et ne sais pas moi-même ce que je désire.
 Ovide
On trouve un certain charme à répandre des pleurs : En apaisant notre âme, ils calment nos douleurs.
 Ovide
Je sens mon cœur inconstant tiraillé entre l'amour et la haine qui se livrent combat ; mais, je le crois, c'est l'amour qui l'emporte. Je haïrai, si je le puis ; sinon, j'aimerai, mais malgré moi. Le taureau non plus n'aime pas le joug ; il ne porte pas moins ce qu'il hait. Je fuis sa perfidie ; pendant que je fuis, sa beauté me rappelle. J'abhorre les défauts de ton âme et j'aime ton corps. Ainsi je ne puis vivre ni sans toi ni avec toi et ne sais pas moi-même ce que je désire.
 Ovide
Tant que tu seras heureux, tu compteras beaucoup d'amis. Que le ciel s'obscursisse et tu seras tout seul.
 Ovide