Il ne restait plus mi-juillet qu'une dizaine de pensionnaires effarouchés par leur petit nombre, offensés dans leur pudeur grégaire, et sur qui les journées flottaient comme un vêtement trop grand.
Ce mignon qui n'avait pas de papa, avec une maman qu'osait pas l'aimer comme il faut, il a les deux maintenant. Et même un frangin. Tu vas m'appeler papa, mignon !
"Et d'accord, ils le furent aussi pour considérer que leur couple, avec ses hauts et ses bas, était le plus amoureux de ceux qu'ils avaient rencontrés".