Expliquer, comprendre, ...

Expliquer, comprendre, pénétrer quelque chose au moins du mystère du monde, soulever au moins un coin du voile d'Isis, il n'est pas, dans le domaine des choses de l'esprit, de joie plus solide et de plus enivrant bonheur que d'avoir pu, fût-ce une seule fois, dans le plus humble domaine et sur le plus infime détail, y parvenir.
 Théodore Monod

Citations liés

Le mystère de la vie n'est pas une question à résoudre mais une réalité à vivre.
 Frank Herbert
Le cirque est un petit bout d'arène close, propre à l'oubli. Un temps plus ou moins bref, il nous permet de ne plus penser à nous, de nous dissoudre dans l'émerveillement et la félicité, d'être transportés de mystère.
 Henry Miller
Tous les secrets ne devraient pas être révélés. Tous les mystères ne devraient pas être résolus.
 Laura Kasischke
Capable d'être dans l'incertitude, le mystère et le doute, en oubliant l'exaspérante quête de la vérité et de la raison. Voilà l'état d'esprit qui convient.
 Philip Pullman
Personne ne fait de la psychologie par amour: mais plutôt par une envie sadique d'exhiber la nullité de l'autre, en prenant connaissance de son fond intime, en le dépouillant de son auréole de mystère.

Citations du même auteur

Il y a une certaine saveur de liberté, de simplicité... une certaine fascination de l'horizon sans limites, du trajet sans détour, des nuits sans toit, de la vie sans superflu.
 Théodore Monod
Il y a une certaine saveur de liberté, de simplicité... une certaine fascination de l'horizon sans limites, du trajet sans détour, des nuits sans toit, de la vie sans superflu.
 Théodore Monod
Parler du désert, ne serait-ce pas, d'abord, se taire, comme lui, et lui rendre hommage non de nos vains bavardages mais de notre silence ?
 Théodore Monod
Contre la religion du profit, nous devons opposer la religion de la beauté, son pain vivant, son eau vive.
 Théodore Monod
Mirabeau, à l'intention des promoteurs de grands ensembles et de gratte-ciel, l'avait cependant déjà dit : " Les hommes sont comme les pommes : quand on les entasse ils pourrissent..."
 Théodore Monod