Il y a une certaine saveur de ...

Il y a une certaine saveur de liberté, de simplicité... une certaine fascination de l'horizon sans limites, du trajet sans détour, des nuits sans toit, de la vie sans superflu.
 Théodore Monod

Citations liés

Et il n'est rien de plus beau que l'instant qui précède le voyage, l'instant où l'horizon de demain vient nous rendre visite et nous dire ses promesses.
Lire mon destin dans les lignes d'une feuille de figuier ! Je te promets des luttes et un grand combat solitaire contre un être sans corps. Je te promets une course de taureaux et une blessure et une ovation. Je te promets le chœur des amis, la chute du tyran et l'écroulement de l'horizon. Je te promets l'exil et le désert, la soif et la foudre qui coupe en deux le rocher: je te promets le jet d'eau.
 Octavio Paz
La chute des grands hommes rend les médiocres et les petits importants. Quand le soleil décline à l'horizon, le moindre caillou fait une grande ombre et se croit quelque chose.
Ce n'est plus du sang qui coule dans mes veines mais des gouttelettes de désespoir ! elles tombent du cœur, sillonnent mes entrailles et perlent mon front, elles brouillent l'espace, bouchent l'horizon et rapetissent mon avenir !
 Nina Bouraoui
Vie je te veux. Je t'ai toujours voulue. J'avais pas le mode d'emploi. C'est pour ça que j'ai tant attendu. Pour te dire combien je t'aime. Comme si t'avais toujours eu ta place dans mon horizon. Mais comment faire pour t'aimer ? Vraiment t'aimer.
 Richard Bohringer

Citations du même auteur

Il y a une certaine saveur de liberté, de simplicité... une certaine fascination de l'horizon sans limites, du trajet sans détour, des nuits sans toit, de la vie sans superflu.
 Théodore Monod
Parler du désert, ne serait-ce pas, d'abord, se taire, comme lui, et lui rendre hommage non de nos vains bavardages mais de notre silence ?
 Théodore Monod
Contre la religion du profit, nous devons opposer la religion de la beauté, son pain vivant, son eau vive.
 Théodore Monod
Très souvent, un changement de soi est plus nécessaire qu'un changement de situation.
 Théodore Monod
Mirabeau, à l'intention des promoteurs de grands ensembles et de gratte-ciel, l'avait cependant déjà dit : " Les hommes sont comme les pommes : quand on les entasse ils pourrissent..."
 Théodore Monod