Les orgueilleux ne laissent pas de gloire derrière eux.
Citations Shakespeare - page 4
Retrouvez des dizaines de citations de William Shakespeare avec des images à copier et à partager.
Le personnage que nous sommes, c'est un jardin, et notre volonté le cultive.
La sagesse et la bonté semblent viles à ceux qui ont l'âme vile.
Qui cache ses fautes est, à la fin, trahi par sa conscience.
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Une femme repousse parfois ce qui la charme le plus.
Mon corps est un jardin, ma volonté est son jardinier.
O éternel malheur de l'amour ! Ne pouvoir être aimé de la femme qu'on aime !
Bien que ce soit de la folie, voici qui ne manque pas de logique.
La conscience n'est qu'un mot à l'usage des lâches, inventé tout d'abord pour tenir les forts en respect.
Mais, de même que tout est mortel dans la nature, de même toute nature atteinte d'amour est mortellement atteinte de folie.
Bon seigneur Boyet, ma beauté, si chétive qu'elle soit, n'a pas besoin du fard éclatant de vos éloges ; la valeur de la beauté est fixée par le jugement du regard, et non par une vile réclame débitée d'une voix de marchand.
Roméo : Elle parle ! Oh ! parle encore, ange resplendissant ! Car tu rayonnes dans cette nuit, au-dessus de ma tête, comme le messager ailé du ciel, quand, aux yeux bouleversés des mortels qui se rejettent en arrière pour le contempler, il devance les nuées paresseuses et vogue sur le sein des airs ! Juliette : Ô Roméo ! Roméo ! pourquoi es-tu Roméo ? Renie ton père et abdique ton nom ; ou, si tu ne le veux pas, jure de m'aimer, et je ne serai plus une Capulet.
Il n'est pas de vertu que la calomnie ne sache atteindre.
Si la connaissance est le but, te connaître doit suffire.
Je ne me laisse pas rassurer par les contradictions
N'est pas coupable tout ce que réprouve l'irréflexion et condamne la caducité.
Celui qui persiste à suivre avec fidélité un maître déchu est le vainqueur du vainqueur de son maître.
Un peu de chagrin prouve beaucoup d'amour, mais beaucoup de chagrin montre trop peu d'esprit.
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Pauvres gens ceux qui n’ont pas de patience ! Quelle blessure s’est jamais guérie autrement que par degrés ?
La colère est pareille à un cheval fougueux ; si on lui lâche la bride, son trop d'ardeur l'a bientôt épuisé.