Citations Victor Hugo - page 16

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J'ajoute que tout mon théâtre tend à la dignification de la femme. Mon plaidoyer pour la femme est, vous le voyez, ancien et persévérant, et n'a pas eu de solution de continuité.
Une sombre colère entourait Cimourdain. Quatre mille hommes contre un seul, il semble que ce soit une force ; ce n'en est pas une. Ces quatre mille hommes étaient une foule, et Cimourdain était une volonté.
L'homme attentif qui lit les grands livres éprouve parfois au milieu de la lecture de certains refroidissements subits suivis d'une sorte d'excès de chaleur.
Au point de vue politique, il n'y a qu'un seul principe, la souveraineté de l'homme sur lui-même. Cette souveraineté de moi sur moi s'appelle Liberté.
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Commencer à "foule" et finir à "solitude", n'est-ce pas, les proportions individuelles réservées, l'histoire de tous ?
Vous aurez dans l'avenir l'auréole auguste de la femme qui a protégé la Femme. Votre admirable Ïuvre tout entière est un combat ; et ce qui est combat dans le présent est victoire dans l'avenir.
Regarder le ciel dans le télescope, disait Falbala, c'est une indiscrétion.
Tout ce qui augmente la liberté augmente la responsabilité.
Regarder le ciel dans le télescope, c’est une indiscrétion.
L'insurrection est l'accès de fureur de la vérité.
Priez. L'esprit de l'homme fait plus de chemin avec les genoux qu'avec les pieds.
Une sombre colère entourait Cimourdain. Quatre mille hommes contre un seul, il semble que ce soit une force ; ce n'en est pas une. Ces quatre mille hommes étaient une foule, et Cimourdain était une volonté.
Les paradoxes-vérités ont une certaine clarté charmante et bizarre qui illumine les esprits justes et qui égare les esprits faux.
Et puis, chose bizarre, le premier symptôme de l'amour vrai chez un jeune homme, c'est la timidité, chez une jeune fille, c'est la hardiesse.
On tient à la figure de la patrie comme au visage de sa mère
... dans nos regards vains Brillent nos plans chétifs que nous croyons divins, Nos vœux, nos passions que notre orgueil encense, Et notre petitesse, ivre de sa puissance; Et, bouffis d'ignorance ou gonflés de venin, Notre prunelle éclate et dit : Je suis ce nain!
Docteur, je bafoue la science; gentilhomme, je déchire mon nom; prêtre, je fais du missel un oreiller de luxure, je crache au visage de mon Dieu ! Tout cela pour toi, enchanteresse ! Pour être plus digne de ton enfer : et tu ne veux pas du damné !
L'extrême misère combinée avec l'extrême propreté. C'est là un mélange assez rare qui inspire aux cœurs intelligents ce double respect qu'on éprouve pour celui qui est très pauvre et pour celui qui est très digne.
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Rien n'est stupide comme vaincre ; la vraie gloire est convaincre.
Chaque fois que celui qui doit enseigner, ment, Chaque fois que d'un traître il jaillit un serment, Chaque fois que le juge, après une prière, Jette au peuple ce mot : Justice ! et, par derrière, Tend une main hideuse à l'or mystérieux, Chaque fois que le prêtre, époussetant ses dieux, Chante au crime hosanna, bat des mains aux désastres Et dit : gloire à César ! là-haut, parmi les astres, Dans l'azur qu'aucun souffle orageux ne corrompt, Christ frémissant essuie un crachat sur son front.