Citations Victor Hugo - page 11

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Tristes créatures sans nom, sans âge et sans sexe (...), et qui, en sortant de l'enfance, n'ont déjà plus rien dans ce monde, ni la liberté, ni la vertu, ni la responsabilité.
Inspirons, s'il est possible, à la nation l'amour de l'architecture nationale. C'est là, l'auteur le déclare, un des buts principaux de ce livre ; c'est là un des buts principaux de sa vie.
Son cerveau était dans un de ces moments violents et pourtant affreusement calme où la rêverie est si profonde qu'elle absorbe la réalité. On ne voit plus les objets qu'on a devant soi et l'on voit comme en dehors de soi les figures qu'on a dans l'esprit.
La femme contient le problème social et le mystère humain. Elle semble la grande faiblesse, elle est la grande force.
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Les vieillards ont besoin d'affections comme de soleil. C'est de la chaleur.
Dans les temps de peu de croyance, où les religions à force de fautes ont fini par ébranler Dieu dans l'âme humaine, le premier devoir du penseur, c'est de faire des actions affirmantes.
Le regard devient fixe en présence de ce sommet. Jamais rien de plus haut n'est apparu sur l'horizon des hommes. Il y a l'Himalaya et il y a la Convention. La Convention est peut-être le point culminant de l'histoire.
Enfant ! Torture-moi d'une main, mais caresse-moi de l'autre !
Pensées: se croisent dans la nuit, divins oiseaux du cœur.
Un désespoir calme, froid, sinistre.
Pour l'esprit, être en travail, c'est être en extase.
L'indécision en effet est une solitude. Vous n'avez même pas votre volonté avec vous.
Elle faisait tout dans le logis, les lits, les chambres, la lessive, la cuisine, la pluie, le beau temps, le diable.
Rien n'est stupide comme vaincre ; la vraie gloire est convaincre.
L'homme ne sera adulte que le jour où son cerveau pourra contenir dans sa plénitude et dans sa simplicité la notion divine.
Le vin est un élixir qui donne du courage et du plaisir.
... dans nos regards vains Brillent nos plans chétifs que nous croyons divins, Nos vœux, nos passions que notre orgueil encense, Et notre petitesse, ivre de sa puissance; Et, bouffis d'ignorance ou gonflés de venin, Notre prunelle éclate et dit : Je suis ce nain!
Les plus grands produits de l'architecture sont moins des Ïuvres individuelles que des Ïuvres sociales ; plutôt l'enfantement des peuples en travail que le jet des hommes de génie.
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Le parti vainqueur ne vit qu'à la condition de faire ce que le parti vaincu avait promis.
Le drame noue l'action, la comédie l'embrouille, la tragédie la tranche.