Bien des années plus tard, ...

Bien des années plus tard, sur son lit d'agonie, Aureliano le Second devait se rappeler cet après-midi pluvieux de juin où il fit irruption dans la chambre pour faire connaissance avec son premier fils.
 Gabriel García Márquez

Citations liés

La mort n'est pas la fin, mais le début d'une nouvelle vie.
 Proverbe indien
Que ce j'écris ici puisse être un jour utile a d'autres, que cela arrête le juge prêt a juger, que cela sauve des malheureux innocents ou coupables, de l'agonie a laquelle je suis condamné.
L'Humanité bavarde, ivre de son génie, Et, folle maintenant comme elle était jadis, Criant à Dieu, dans sa furibonde agonie : " Ô mon semblable, ô mon maître, je te maudis ! "
 Charles Baudelaire
Je vous dénonce la misère, cette longue agonie du pauvre qui se termine par la mort du riche. Législateurs, la misère est la plus implacable des lois.
La vérité c'est une agonie qui n'en finit pas. La vérité de ce monde, c'est la mort. Il faut choisir, mourir ou mentir. Je n'ai jamais pu me tuer moi.
 Louis-Ferdinand Céline

Citations du même auteur

"Aux lignées condamnées à cent ans de solitude, il n'était pas donné sur terre une seconde chance" G.G Marquez
 Gabriel García Márquez
Mais avant d'arriver au vers final, il avait déjà compris qu'il ne sortirait jamais de cette chambre, car il était dit que la cité des miroirs (ou des mirages) serait rasée par le vent et bannie de la mémoire des hommes à l'instant où Aureliano Babilonia achèverait de déchiffrer les parchemins, et que tout ce qui y était écrit demeurait depuis toujours et resterait à jamais irrépétible, car aux lignées condamnées à cent ans de solitude, il n'était pas donné sur terre de seconde chance.
 Gabriel García Márquez
Tout le monde veut vivre au sommet de la montagne, sans soupçonner que le vrai bonheur est dans la manière de gravir la pente.
 Gabriel García Márquez
Il n'est plus grande gloire que de mourir d'amour.
 Gabriel García Márquez
Il était encore trop jeune pour savoir que la mémoire du cœur efface les mauvais souvenirs et embellit les bons, et que c'est grâce à cet artifice que l'on parvient à accepter le passé.
 Gabriel García Márquez