A une certaine distance, on distingue nettement l'eau agitée du tourbillon par rapport au courant plus calme de la rivière. Ils sont saisis, comme deux choses séparées. Mais en approchant, il devient impossible de dire où finit le tourbillon et où commence la rivière ; l'analyse en parties distinctes et séparées n'a plus aucun sens : le tourbillon n'est pas réellement quelque chose de séparé mais un aspect du tout.
Igor et Grichka Bogdanoff