Mais les jeunes d'aujourd'hui, se disait-il, ne sont qu'un ramassis de couards dépourvus de l'allant, de la vigueur, de l'énergie qui animaient la jeunesse de mon temps.
Il faut, un jour d'énergie, prendre le livre que l'on tient pour ennuyeux, lui ordonner d'être, essayer de reconstituer l'intérêt qu'y a pris l'auteur.
L'amour a besoin de réalité. Aimer à travers une apparence corporelle un être imaginaire, quoi de plus atroce, le jour où l'on s'en aperçoit ? Bien plus atroce que la mort, car la mort n'empêche pas l'aimé d'avoir été.