Tous les changements, même les plus souhaités, ont leur mélancolie, car ce que nous laissons derrière fait partie de nous-même. On doit faire le deuil de sa vie passée avant d’entrer dans la nouvelle.
Il n'y a pas de vérité scientifique, il n'y a qu'un accord entre scientifiques à un moment donné, ce qu'ils appellent un consensus. Ils se méfient comme d'une peste noire du mot vérité.
Pour Le Mahâbhârata, mon travail était véritablement celui d'un auteur puisqu'il fallait vraiment écrire une pièce à partir de cette épopée mythique. Je peux dire sans exagérer que Le Mahâbhârata est la chose la plus difficile que j'aie faite de ma vie.