Robert Neville regardait le ...

Robert Neville regardait le peuple de la Terre. Il savait qu'il n'en faisait pas partie.
 Richard Matheson

Citations liés

Maintenant que je suis à la fin de ma vie, je laisse à ceux qui viendront après moi ce que j'ai appris en cheminant sur la terre. Qu'ils en fassent bon usage.
Nous devons être les gardiens de cette planète. Nous devons prendre des mesures pour améliorer l'environnement et laisser un monde meilleur à nos enfants.
La terre se couvre d'une nouvelle race d'hommes à la fois instruits et analphabètes,maîtrisant les ordinateurs et ne comprenant plus rien aux âmes,oubliant même ce qu'un tel mot a pu jadis désigner.
La quintessence de notre travail, c'est d'en venir à reconnaître l'existence de Dieu, d'en ressentir La présence, puis de constater, ce faisant, que la " terre entière est remplie de Sa gloire. "
 Yéhouda Ashlag
Suicide et meurtre sont ici deux faces d'un même ordre, celui d'une intelligence malheureuse qui préfère à la souffrance d'une condition limitée la noire exaltation où terre et ciel s'anéantissent.

Citations du même auteur

Une nouvelle terreur a émergé de la mort, une nouvelle superstition a conquis la forteresse inexpugnable de l'éternité. Je suis une légende.
 Richard Matheson
Neville s'immobilisa un moment, parcourant la salle du regard. Tant de livres, vestiges abandonnés du savoir d'un monde, pauvres simulacres, impuissants à sauver l'homme de la destruction...
 Richard Matheson
Lorsque le ciel – comme c'était le cas ces jours-ci – était nuageux, Robert Neville ne se rendait pas toujours compte de l'approche du soir, et parfois ils auraient pu envahir les rues avant qu'il ne fût rentré chez lui.
 Richard Matheson
Ou bien il trouverait la réponse qu'il cherchait, ou bien il enverrait tout au diable, y compris l'existence elle-même !
 Richard Matheson
Il regarda la bibliothèque. Aucun livre n'était capable d'éteindre ce feu qui était en lui. Le message des siècles était impuissant à mettre un terme au tourment silencieux qui brûlait sa chair, et cela le rendait malade.
 Richard Matheson