Que de pas restent à faire ! La femme pauvre est aussi bien esclave et vendue en orient qu'en occident. Seulement elle a de plus la flétrissure et la misère. Le lupanar n'est autre chose qu'un sérail en commun.
La misère ne s'empreint pas seulement sur les vêtements ; elle s'empreint sur la beauté. Cela se mêle au point qu'on pourrait dire que le vêtement devient maigre et le visage pauvre.