La solitude est une sorte de tare : elle a un subtil parfum de tristesse, quelque chose qui n'attire, ni n'intéresse personne, et on en a un peu honte.
Sans doute le bruit courait-il que je l'avais ensorcelée ou que j'étais un baiseur de première. Au point que je me demandais parfois s'il n'y avait pas comme un parfum de vérité là-dessous.
Comme un éclat de rire Vient consoler tristesse, Comme un souffle avenir Vient raviver les braises, Comme un parfum de soufre Qui fait naître la flamme Quand, plongé dans le gouffre, On sait plus où est l'âme
Il voulait peut-être aussi renouer le contact. En prenant de l'âge, on devient un peu bizarre sur ce plan. Ce qui remonte très loin dans le temps se rapproche de vous et prend plus d'importance.