On est encore à cette ...

On est encore à cette époque où l'homme finit de se rendre maître et possesseur de la nature. Où la nature n'est pas encore une vieillarde fragile qu'il faut protéger, mais un redoutable ennemi qu'il faut vaincre.
 Patrick Deville

Citations liés

Parfois, vous pouvez être votre plus grand obstacle; donc si vous voulez réussir, il faut vaincre votre peur et aller de l’avant!
— Partez, être maudit, et ne nous troublez pas. Partez, maudit et pour maudire ! — Je pars vainqueur et pour vaincre, répondit Melmoth avec un triomphe sauvage et féroce. Malheureux ! Ce sont vos vices, vos passions et vos faiblesses qui font de vous mes victimes. Jetez sur vous le blâme et non sur moi. Héroïques dans le crime mais lâches dans le désespoir, vous vous mettriez à genoux à mes pieds pour que vous soit conférée la terrible immunité qui me permet en cet instant de traverser vos rangs : chaque cœur humain m'accompagne de sa malédiction, pourtant nulle main n'ose me toucher !
 Charles Robert Maturin
Se vaincre, en plein triomphe, est triompher deux fois.
 Publius Syrus
Un vrai chef ne paraît pas martial. Qui sait se battre ne s'emporte pas. Qui saura vaincre évitera d'affronter. Qui saura manier les hommes s'abaissera...
 Lao Tseu
"A vaincre sans péril on triomphe sans gloire." (Le Comte)
 Pierre Corneille

Citations du même auteur

Le pigeon est un peu le rat du ciel, un rat auquel on aurait vissé des ailes avant de le repeindre en gris.
 Patrick Deville
Yersin aime l'ordre et le luxe, parce que le luxe c'est le calme. Que le pire dans la misère exécrée c'est de toujours être importuné. De ne jamais pouvoir être seul.
 Patrick Deville
Cette sorte de liberté sauvage dont on jouit ne peut être comprise en Europe où tout est si réglé par la civilisation.
 Patrick Deville
"Demander de l'argent pour soigner un malade, c'est un peu lui dire la bourse ou la vie." Yersin
 Patrick Deville
Yersin aime l'ordre et le luxe, parce que le luxe c'est le calme. Que le pire dans la misère exécrée c'est de toujours être importuné. De ne jamais pouvoir être seul.
 Patrick Deville