Montaigne a fait la tentative ...

Montaigne a fait la tentative la plus difficle qui soit sur terre : vivre par soi-même, être libre et le devenir toujours plus
 Stefan Zweig

Citations liés

Maintenant que je suis à la fin de ma vie, je laisse à ceux qui viendront après moi ce que j'ai appris en cheminant sur la terre. Qu'ils en fassent bon usage.
Nous devons être les gardiens de cette planète. Nous devons prendre des mesures pour améliorer l'environnement et laisser un monde meilleur à nos enfants.
La terre se couvre d'une nouvelle race d'hommes à la fois instruits et analphabètes,maîtrisant les ordinateurs et ne comprenant plus rien aux âmes,oubliant même ce qu'un tel mot a pu jadis désigner.
La quintessence de notre travail, c'est d'en venir à reconnaître l'existence de Dieu, d'en ressentir La présence, puis de constater, ce faisant, que la " terre entière est remplie de Sa gloire. "
 Yéhouda Ashlag
Suicide et meurtre sont ici deux faces d'un même ordre, celui d'une intelligence malheureuse qui préfère à la souffrance d'une condition limitée la noire exaltation où terre et ciel s'anéantissent.

Citations du même auteur

Les arguments auxquels on recourt dans la chaleur d'une discussion que le hasard soulève entre convives sont le plus souvent sans originalité, parce que, pour ainsi dire, ramassés hâtivement avec la main gauche.
 Stefan Zweig
Quand j'ouvrais les yeux dans l'obscurité et que je te sentais à mon côté, je m'étonnais que les étoiles ne fussent pas au-dessus de ma tête, tellement le ciel me semblait proche [...] dans l'ombre, j'ai pleuré de bonheur.
 Stefan Zweig
Je passais devant toi en courant, tête baissée, comme quelqu'un qui va se jeter à l'eau, pour éviter le feu de ton regard.
 Stefan Zweig
Qui éprouve de vifs sentiments observe peu. Les gens heureux sont de mauvais psychologues. Seul l'individu inquiet aiguise ses sens au maximum. L'instinct du danger lui insuffle une perspicacité qui dépasse de loin celle qui lui est naturelle.
 Stefan Zweig
Ceux qui tombent entraînent souvent dans leur chute ceux qui se portent à leurs secours.
 Stefan Zweig