Moi ce qui m'a toujours paru ...

Moi ce qui m'a toujours paru bizarre, c'est que les larmes ont été prévues au programme. Ça veut dire qu'on a été prévu pour pleurer. Il fallait y penser. Il y a pas un constructeur qui se respecte qui aurait fait ça.
 Romain Gary

Citations liés

Il n'existe pas de genre fou ou bizarre, il n'y a que le genre incompris.
 Anonyme
On verra plus d'une fois dans la suite les bizarres effets de cette disposition si misanthrope et si sombre en apparence, mais qui vient en effet d'un cœur trop affectueux, trop aimant, trop tendre, qui, faute d'en trouver d'existants qui lui ressemblent, est forcé de s'alimenter de fictions.
La maturité, telle que je la concevais, consistait à reconnaître ce qu'il pouvait y avoir de bizarre ou de douloureux dans l'existence, à admettre qu'on ne pouvait plus rien y faire, et à aller de l'avant en prenant le meilleur de la vie.
 Richard Ford
Je ne comprends pas pourquoi tu es si bizarre, dit Shelby à Luce, le lendemain matin. Ca fait six jours que tu es a Shoreline, et tu es déjà la star du lycée ! Tu vas probablement êre à la hauteur de ta réputation, en fin de compte...
 Lauren Kate

Citations du même auteur

J'ai été formé par un regard d'amour d'une femme. J'ai donc aimé les femmes. Pas trop, parce qu'on ne peut pas les aimer assez. C'est une affaire entendue : j'ai cherché la féminité toute ma vie. Et sans ça, il n'y a pas d'homme.
 Romain Gary
L'âge n'y fait rien. Le cœur ne vieillit jamais, et le vide, l'absence qui l'ont marqué, demeurent et ne font que grandir.
 Romain Gary
La vraie maison de l'amour est toujours une cachette. La fidélité n'était d'ailleurs pas pour moi un contrat d'exclusivité : elle était une notion de dévouement et de communion dans le même sens des valeurs.
 Romain Gary
Le patriotisme c'est l'amour des siens. Le nationalisme c'est la haine des autres.
 Romain Gary
L'Islam appelle cela " les racines du ciel ", pour les Indiens du Mexique, c'est " l'arbre de vie ", qui les pousse les uns et les autres à tomber à genoux et à lever les yeux en se frappant la poitrine dans leur tourment. Un besoin de protection auquel les obstinés comme Morel cherchent à échapper par des pétitions, des comités de lutte et des syndicats de défense – ils essaient de s'arranger entre eux, de répondre eux-mêmes à leur besoin de justice, de liberté, d'amour – ces racines du ciel si profondément enfoncées dans leur poitrine...
 Romain Gary