La misère ne s'empreint pas seulement sur les vêtements ; elle s'empreint sur la beauté. Cela se mêle au point qu'on pourrait dire que le vêtement devient maigre et le visage pauvre.
L'existence, ça vous tord et ça vous écrase la face. Les pauvres sont fadés. La misère est géante, elle se sert pour essuyer les ordures du monde de votre figure comme d'une toile à laver.
Nous fûmes les Guépards, les Lions ; ceux qui nous remplaceront seront les chacals et des hyennes... Et tous, Guépards, chacals et moutons, nous continuerons à nous considérer comme le sel de la Terre.