Les hommes, non contents de ...

Les hommes, non contents de deux ou trois besoins réels que la nature leur a imposés, s'en créent chaque jour de nouveaux, et épuisent tout leur génie à inventer de nouveaux moyens d'être pauvres et misérables.
 Alphonse Karr

Citations liés

Alors Monsieur "Je sais tout mieux que tout le monde la question ne se pose même pas" est content? Il a bien triomphé de l'adversité, une fois de plus?
 Michel Plessix
Je t'aime autant que je peux, et si tu n'es pas content tu as qu'à en aimer une autre.
 Molière
Ce qui nous fait souffrir avec tant d'impatience la douleur, c'est de n'être pas accoutumés de prendre notre principal contentement en l'âme.
 Michel de Montaigne
Maintenant qu'on sait, on sait que c'était la marque, le signe, que nous étions marqués pour la chose, que par ce rond on avait voulu indiquer notre villageet le faire luire au soleil pour le désignerau mal. Va bien; nous, on était contents
 Jean Giono
J'espère que vous êtes contents de vous, on aurait pu se faire tuer, ou pire, être renvoyés. Et maintenant, si ça ne vous dérange pas, je vais me coucher.
 J. K. Rowling

Citations du même auteur

L'avantage du célibataire sur l'homme marié, c'est qu'il peut toujours cesser de l'être s'il trouve qu'il s'est trompé.
 Alphonse Karr
Les amis font toujours plaisir ; si ce n'est pas quand ils arrivent, c'est quand ils partent.
 Alphonse Karr
On fait toujours semblant de confondre les juges avec la justice, comme les prêtres avec Dieu. C'est ainsi qu'on habitue les hommes à se défier de la justice et de Dieu.
 Alphonse Karr
D'où vient qu'on paie si cher l'imitation de ce qui ne coûte rien? C'est qu'on n'aime à posséder les choses que pour humilier ceux qui ne les possèdent pas; c'est ce qui fait le prix des diamants, et ce qui fait tant de tort au ciel; c'est le secret des plus honteux sentiments des hommes.
 Alphonse Karr
La toilette est la cuisine de la beauté ; chaque femme, chaque jour, imagine des ragoûts pour ses charmes, qu'elle doit servir le soir à l'admiration affamée des regard.
 Alphonse Karr