Les grandes personnes savent ...

Les grandes personnes savent tout, dit Porcinet ; elles n'ont pas peur du noir. Ici, elles se réuniraient, prendraient le thé ensemble et discuteraient la situation. Et tout s'arrangerait...

Citations liés

Tu vois, c'est marrant, on se donne toutes les bonnes raisons de s'interdire d'aimer, par peur de souffrir, d'être abandonné un jour. Et pourtant, qu'est ce qu'on aime la vie alors qu'on sait qu'elle vous quittera un jour.
Un dicton vietnamien dit: «Seuls ceux qui ont les cheveux long ont peur, car personne ne peut tirer les cheveux de celui qui en a pas.» Alors, j'essaie le plus possible de n'acquérir que des choses qui ne dépassent pas les limites de mon corps.
 Kim Thúy
La vérité c'est que tu as peur de vivre et c'est pour surmonter cette peur que tu es partie assister les autres. [...] Quel étrange destin que d'ignorer ceux qui t'aiment pour aller donner de l'amour à ceux que tu ne connaîtras pas !
L'homme n'a pouvoir sur rien tant qu'il a peur de la mort. Et celui qui n'a pas peur de la mort possède tout. Si la souffrance n'existait pas, l'homme ne se connaîtrait pas de limites, il ne se connaîtrait pas lui-même.
 Léon Tolstoï
Le délire d'interprétation ne commence qu'où l'homme mal préparé prend peur dans cette forêt d'indices.
 André Breton

Citations du même auteur

Un fou rire général unit Ralph aux autres garçons et détendit l'atmosphère. Une fois de plus, Porcinet servit de bouc émissaire et son ridicule permit à la communauté de retrouver son équilibre et sa gaieté.
Que cette phrase trouve sa place dans le volume trop peu épais de la connaissance de l'homme par l'homme : on peut mourir de honte.
Les petits sortaient de leur silence. Ils se rappelaient leurs chagrins personnels, ou bien percevaient-ils confusément qu'ils partageaient un chagrin universel ?
Des sentiments complexes et refoulés s'ajoutaient pour donner à sa rage une force primitive qui inspirait la terreur.
[...] il eut une révélation soudaine. Il comprit tout à coup le caractère fastidieux de la vie où tout sentier représente l'imprévu et dont une part importante se passe à surveiller ses pas.