Les gens bien nés se reconnaissent à l'odeur, et repèrent les intrus de la même façon.
Virginie Despentes
Citations liés
Le regard tourné vers ses yeux verts et vifs comme la jalousie, je ne voyais plus que lui. Il s'est penché, nos bouches se sont effleurées et nos bras enlacés. Son contact, son odeur, son goût... j'ai cru que mon cœur allait éclater.
Moi, pour la modestie, je ne crains personne ! Odeur du temps. Chroniques du temps qui passe, aux éditions Héloïse d'Ormesson, (ISBN 978-2-266-17930-0) ; dans un entretien, Jean d'Ormesson attribue ce propos à un cardinal espagnol.
L'amour ! Alors on aime un appareil respiratoire, un tube digestif, des intestins, des organes d'évacuation, un nez qu'on mouche, une bouche qui mange, une odeur corporelle ? Si on pensait à cela, comme on serait moins fou !
De l'école, je ne garde que le souvenir de ma montre. Combien de temps avant la fin du cours, combien avant la fin de la journée. Même le travail, pendant le quel je me suis pourtant souvent ennuyée, ne m'a jamais inspiré autant d'impatience.
Je suis furieuse contre une société qui m'a éduquée sans jamais m'apprendre à blesser un homme s'il m'écarte les cuisses de force, alors que cette même société m'a inculqué l'idée que c'était un crime dont je ne devais jamais me remettre
C'est drôle comme les hommes ne pensent pas à être complexés. Ca doit être bien, d'être comme ça. Ne penser qu'à son regard qui se pose et pas penser à la réciproque.
On pointe rarement du doigt le vrai ravage dont les journaux féminins et l'industrie cosmétique sont responsables : faire croire à une nation de boudins qu'elles peuvent, en faisant quelques efforts, avoir l'air d'autre chose que de ce qu'elles sont