Les colères des amants sont ...

Les colères des amants sont comme les orages d'été, qui ne font que rendre la campagne plus verte et plus belle.
 Suzanne Curchod

Citations liés

La colère est comme un poison : si on ne le traite pas, il finira par s'accumuler et causer des dégâts.
Comme si cette grande colère m'avait purgé du mal, vidé d'espoir, devant cette nuit chargée de signes et d'étoiles, je m'ouvrais pour la première fois à la tendre indifférence du monde. J'ai senti que j'avais été heureux et que je l'étais encore.
L'homme qui, dans un accès de colère, ou entraîné par la passion, fait violence à un autre homme, me semble porter la main sur son frère ; et celui qui ne fait pas tous ses efforts pour arrêter les effets de cet emportement est aussi coupable, selon moi, que s'il abandonnait sa patrie, ses parents ou ses amis en péril.
La colère est un sentiment normal, mais il faut apprendre à le contrôler si on veut réussir dans la vie.
Un sujet qui peut comprendre sa colère comme faisant partie intégrante de lui-même ne devient pas violent.
 Alice Miller

Citations du même auteur

Rousseau, partant du principe que les idées ne nous arrivent que par les sens, voulait qu'on commençât par perfectionner les organes de la perception ; Mme Necker estimait qu'il fallait agir immédiatement sur l'esprit par l'esprit. L'essentiel à ses yeux était " d'accumuler les idées. " Elle était persuadée que l'intelligence devient paresseuse quand on lui épargne ce travail. Et, pour le rendre plus profitable, elle ne craignait pas de recourir à toutes les applications de la pensée.
 Suzanne Curchod
L'on prouve que l'on a du caractère quand on parvient à vaincre le sien.
 Suzanne Curchod
Elle disait elle-même " qu'elle ne posait pas la plume avant d'avoir réussi à conduire sa pensée jusqu'à l'image et à la colorer, " et elle abuse des comparaisons et de l'antiquité. Mais, pour être trop compliquée dans l'expression, trop concertée dans le tour, sa pensée n'en est pas moins presque toujours admirablement judicieuse : elle donne confiance.
 Suzanne Curchod
[Mme Necker] avait, disait-on, transformé sa maison en un temple. Galiani lui-même n'y entrait qu'en composant son attitude. " Je serai froid et poli comme une assiette de Mme Geoffrin vis-à-vis de Mme Necker, écrivait-il à Mme d'Épinay après une brouille ; je ne veux plus avoir avec elle que des rapports de chancellerie ; voilà comme je punis le froid maintien de la décence. "
 Suzanne Curchod
[...] ce qu'elle [...] recommande [aux femmes], en un mot, c'est la patience, la douceur, la grâce. " Les vers luisants, disait-elle, sont l'image des femmes ; tant qu'elles restent dans l'ombre, on est frappé de leur éclat ; dès qu'elles veulent paraître au grand jour, on les méprise et on ne voit plus que leurs défauts. "
 Suzanne Curchod