Teilhard de Chardin : " On est toujours au centre du paysage qu'on traverse ! On croit le voir ? On ne fait qu'en déplacer le centre, et le paysage ne cesse de changer... " : la synthèse est impossible. L'humain échappe sans cesse aux tentatives normatives. Reste l'expérience... par définition subjective...
Nous rentrons au crépuscule, recrus de fatigue et songeant à l'importance de l'art dans la vie. L'art ou la signature d'un peuple, l'art ou le pied de nez infligé au temps.
Il nous démontre, s'il en était besoin la différence entre la pauvreté et la misère. L'une peut être noble et digne tandis que l'autre est toujours une indigence physique ou morale.
Ce qui fait l'homme, c'est l'amour de la vie et la conscience que tout n'est que vide et poussière hormis cet amour de la vie. La vie organise. La barbarie désorganise, anéantit.