Le trait est une entité ...

Le trait est une entité vivante à lui seul; il a une ossature, une chair, une énergie vitale; c'est une créature de la nature comme le reste. Il faut saisir les mille et une variations que l'on peut offrir dans un unique trait
 Fabienne Verdier

Citations liés

Ne gaspille pas ton énergie dans des choses qui n'en valent pas la peine. Prends ton temps pour entreprendre ce qui te semble important
 Bernard Werber
Mais les jeunes d'aujourd'hui, se disait-il, ne sont qu'un ramassis de couards dépourvus de l'allant, de la vigueur, de l'énergie qui animaient la jeunesse de mon temps.
 Neil Gaiman
Il faut, un jour d'énergie, prendre le livre que l'on tient pour ennuyeux, lui ordonner d'être, essayer de reconstituer l'intérêt qu'y a pris l'auteur.
L'énergie ne peut pas être créée ni détruite, elle peut seulement être convertie.
 Thomas Edison
Je suis toujours fascinée par l'abnégation avec laquelle nous autres humains sommes capables de consacrer une grande énergie à la quête du rien et au brassage de pensées inutiles et absurdes.
 Muriel Barbery

Citations du même auteur

Vivre en ermite, ce n'est pas seulement se retirer dans une grotte, au fond des montagnes ; c'est une attitude de l'esprit qui engendre un certain regard sur le monde, certaines relations avec les autres
 Fabienne Verdier
Je compare la vie d'un homme à la terrifiante beauté d'un bonzaï ou d'un vieux pin sur les récifs en bord de mer qui a pris les plis du vent avec le temps. On le juge beau à l'automne de sa vie, mais quel sacrifice a-t-il dû accepter pour pousser ainsi?
 Fabienne Verdier
Point n'est besoin de comprendre les idéogrammes chinois pour saisir la beauté en mouvement et atteindre ce que Sénèque appelait "la tranquillité de l'âme".
 Fabienne Verdier
Vivre en ermite, ce n'est pas seulement se retirer dans une grotte, au fond des montagnes ; c'est une attitude de l'esprit qui engendre un certain regard sur le monde, certaines relations avec les autres
 Fabienne Verdier
Je compare la vie d'un homme à la terrifiante beauté d'un bonzaï ou d'un vieux pin sur les récifs en bord de mer qui a pris les plis du vent avec le temps. On le juge beau à l'automne de sa vie, mais quel sacrifice a-t-il dû accepter pour pousser ainsi?
 Fabienne Verdier