Le ministère de la Paix ...

Le ministère de la Paix s'occupe de la guerre, celui de la Vérité, des mensonges, celui de l'Amour, de la torture, celui de l'Abondance, de la famine.
 George Orwell

Citations liés

Ceux qui s'aiment aujourd'hui doivent mourir ensemble, s'ils veulent etre réunis. L'injustice sépare, la honte, la douleur, le mal qu'on fait aux autres, le crime séparent. Vivre est une torture puisque vivre sépare.
La torture et le meurtre sont des actes ignobles qui sapent la dignité humaine.
 Jimmy Carter
Il y a dans l'acte d'amour une grande ressemblance avec la torture ou avec une opération chirurgicale.
 Charles Baudelaire
La loi qui maintient constamment l'équilibre entre la surpopulation relative, ou l'armée industrielle de réserve, et l'ampleur et l'énergie de l'accumulation, rive beaucoup plus fermement le travailleur au capital que les coins d'Héphaistos ne clouèrent jamais Prométhée à son rocher. Elle implique une accumulation de misère proportionnelle à l'accumulation du capital. L'accumulation de richesse à un pôle signifie donc en même temps à l'autre pôle une accumulation de misère, de torture à la tâche, d'esclavage, d'ignorance, de brutalité et de dégradation morale pour la classe dont le produit propre est, d'emblée, capital.
 Karl Marx

Citations du même auteur

La dictature s'épanouit sur le terreau de l'ignorance
 George Orwell
La liberté est le droit de dire ce que les autres ne veulent pas entendre.
 George Orwell
Le langage politique est destiné à rendre vraisemblables les mensonges, respectables les meurtres, et à donner l'apparence de la solidité à ce qui n'est que vent.
 George Orwell
Nous ne naissons pas libre et égaux, comme le proclamé la constitution, on nous rend égaux. Chaque homme doit être à l'image de l'autre, comme ça tout le monde est content; plus de montagnes pour intimider (...)
 George Orwell
Le discours politique est destiné à donner aux mensonges l'accent de la vérité, à rendre le meurtre respectable et à donner l'apparence de la solidarité à un simple courant d'air.
 George Orwell