Le mal-être finit par devenir une sorte de seconde nature. On y tient. On s'y vautre. Et l'auto-complaisance est une des meilleures nourritures que je connaissance pour l'alimenter.
Dans notre monde, nul n'est irremplaçable. Quelles que soient nos connaissances ou nos capacités, quelqu'un, quelque part, prendra notre place. Si notre planète était peuplée d'êtres irremplaçables, ce serait terriblement ennuyeux [...]
Il y eut des nuits mémorables - putain ça, oui -. de purs orgasmes auditifs, d'inconcevables délires aussitôt nés aussitôt morts et dont le seul souvenir est celui qui restera à jamais gravé dans la cire des oreilles de ceux qui y étaient.
Le mal-être finit par devenir une sorte de seconde nature. On y tient. On s'y vautre. Et l'auto-complaisance est une des meilleures nourritures que je connaissance pour l'alimenter.