Le courage consiste à ...

Le courage consiste à dominer sa peur, non pas à ne pas avoir peur.
 François Mitterrand

Citations liés

Mon Dieu, donne-moi la sérénité d'accepter les choses que je ne puis changer, le courage de changer les choses que je puis changer, et la sagesse d'en connaitre la différence
 Robert Talbot
La vie est faite de choix. Elena, Parfois bons,parfois mauvais. Si tu n'as plus le courage d'y faire face, alors renonce, abandonne. Mais ne fais pas les choses à moitié. Ne perds pas ton temps à t'apitoyer sur ton sort.
 Maria V. Snyder
Le courage, c'est de comprendre sa propre vie... Le courage, c'est d'aimer la vie et de regarder la mort d'un regard tranquille... Le courage, c'est d'aller à l'idéal et de comprendre le réel.
 Jean Jaurès

Citations du même auteur

Le sentiment d'injustice ne suffit pas pour vaincre l'injustice.
 François Mitterrand
Un caractère fort qui s'abaisse va toujours plus loin dans le zèle qu'un faible qui n'a pas à battre monnaie de son abnégation.
 François Mitterrand
Il faut vaincre ses préjugés. Ce que je vous demande là est presque impossible, car il faut vaincre notre histoire. Et pourtant, si on ne le vainc pas, il faut savoir qu'une règle s'imposera. Mesdames et messieurs, le nationalisme, c'est la guerre ! La guerre n'est pas seulement le passé, elle peut être notre avenir ; et c'est vous, mesdames et messieurs les députés, qui êtes désormais les garants de notre paix, de notre sécurité et de notre avenir.
 François Mitterrand
J'ai tendance — c'est peut-être un nationalisme européen tout à fait regrettable —, j'ai tendance à reprendre, en l'adaptant, le mot du premier roi d'Italie : " Europa farà da sé ". Si les Européens ne prennent pas en main leur propre destin, qui le fera ? Le Japon, la Chine, le Nigeria, le Brésil, le Texas, enfin, je ne sais qui... Si vous ne décidez pas vous-même de votre sort, quelqu'un s'en chargera, soyez-en sûrs ; mais ce ne sera pas forcément la meilleure solution.
 François Mitterrand
La politique de force n'était pas assez sûre d'elle sans doute pour s'engager sur tous les fronts avec une égale ardeur. Peut-être avait-elle peur aussi du jugement de l'Histoire ? Sa démarche incertaine, incohérente, plus faible que la faiblesse, la condamnait à suivre, comme au chemin de croix de la France, les itinéraires de l'abandon. Mais elle ne voulait pas livrer l'aveu de son échec. Elle avait besoin d'être respectable. Après avoir tout perdu, tout saccagé, tout abandonné, il lui restait au moins une bataille à gagner : que la France n'en sache rien.
 François Mitterrand