Curieux comme les bardes, quand ils chantent la gloire des combats oublient de parler des moucherons et des moustiques ou de la sueur coincée sous la cuirasse.
Il existe des causes assez graves pour qu'on se batte pour elles, se dit-elle. La « gloire » n'en fait peut-être pas partie, mais ça ne veut pas dire qu'il n'y en a pas d'autres.
Mourir pour la gloire n'est une bonne idée que dans les mauvais romans historiques. Pour ma part, je trouve on ne peut plus stupide de le faire dans la réalité alors qu'on n'y est pas obligé, et je suis furieux que nous n'ayons pas l'air d'avoir le choix.