Mais les jeunes d'aujourd'hui, se disait-il, ne sont qu'un ramassis de couards dépourvus de l'allant, de la vigueur, de l'énergie qui animaient la jeunesse de mon temps.
Il faut, un jour d'énergie, prendre le livre que l'on tient pour ennuyeux, lui ordonner d'être, essayer de reconstituer l'intérêt qu'y a pris l'auteur.
Il tenait dans le creux de sa main un pouvoir plus fort que les pouvoirs de l'argent, ou que le pouvoir de la terreur, ou que le pouvoir de la mort : le pouvoir invincible d'inspirer l'amour aux hommes.