La liberté est une rupture. ...

La liberté est une rupture. Elle n'est pas une affaire de courage, mais d'amour.
 François Mitterrand

Citations liés

Parfois, vous devez prendre une décision difficile et dire au revoir à quelqu’un que vous aimez beaucoup, mais ne pouvez pas être avec.
L'amour de soi est à l'amour de Dieu ce que le blé en herbe est au blé mûr. Il n'y a pas de rupture de l'un à l'autre - juste un élargissement sans fin.
L'amour n'est pas opiniâtre dans une tête bourgeoise comme il l'est dans un cœur héroïque ; l'attachement et la rupture se font communément et avec une grande facilité ; l'intérêt et le dessein de se marier est ce qui règle leur passion.
 Antoine Furetière
La seule chose que vous pouvez contrôler dans une rupture est la façon dont vous gérez votre chagrin.

Citations du même auteur

Le sentiment d'injustice ne suffit pas pour vaincre l'injustice.
 François Mitterrand
Un caractère fort qui s'abaisse va toujours plus loin dans le zèle qu'un faible qui n'a pas à battre monnaie de son abnégation.
 François Mitterrand
Il faut vaincre ses préjugés. Ce que je vous demande là est presque impossible, car il faut vaincre notre histoire. Et pourtant, si on ne le vainc pas, il faut savoir qu'une règle s'imposera. Mesdames et messieurs, le nationalisme, c'est la guerre ! La guerre n'est pas seulement le passé, elle peut être notre avenir ; et c'est vous, mesdames et messieurs les députés, qui êtes désormais les garants de notre paix, de notre sécurité et de notre avenir.
 François Mitterrand
J'ai tendance — c'est peut-être un nationalisme européen tout à fait regrettable —, j'ai tendance à reprendre, en l'adaptant, le mot du premier roi d'Italie : " Europa farà da sé ". Si les Européens ne prennent pas en main leur propre destin, qui le fera ? Le Japon, la Chine, le Nigeria, le Brésil, le Texas, enfin, je ne sais qui... Si vous ne décidez pas vous-même de votre sort, quelqu'un s'en chargera, soyez-en sûrs ; mais ce ne sera pas forcément la meilleure solution.
 François Mitterrand
La politique de force n'était pas assez sûre d'elle sans doute pour s'engager sur tous les fronts avec une égale ardeur. Peut-être avait-elle peur aussi du jugement de l'Histoire ? Sa démarche incertaine, incohérente, plus faible que la faiblesse, la condamnait à suivre, comme au chemin de croix de la France, les itinéraires de l'abandon. Mais elle ne voulait pas livrer l'aveu de son échec. Elle avait besoin d'être respectable. Après avoir tout perdu, tout saccagé, tout abandonné, il lui restait au moins une bataille à gagner : que la France n'en sache rien.
 François Mitterrand