La misère ne s'empreint pas seulement sur les vêtements ; elle s'empreint sur la beauté. Cela se mêle au point qu'on pourrait dire que le vêtement devient maigre et le visage pauvre.
Les grands génies ont leur empire, leur éclat, leur grandeur, leur victoire et leur lustre, et n'ont nul besoin des grandeurs charnelles où elles n'ont pas de rapport. Ils sont vus, non des yeux mais des esprits. C'est assez.