L'assistance n'était ...

L'assistance n'était composée ni de pauvres ni de riches, mais plutôt de ceux entre les deux qui ont assez à manger pour éprouver de l'ennui et pas assez de bien pour avoir peur de s'exposer.
 Jean Barbe

Citations liés

L'homme n'a pouvoir sur rien tant qu'il a peur de la mort. Et celui qui n'a pas peur de la mort possède tout. Si la souffrance n'existait pas, l'homme ne se connaîtrait pas de limites, il ne se connaîtrait pas lui-même.
 Léon Tolstoï
Tu vois, c'est marrant, on se donne toutes les bonnes raisons de s'interdire d'aimer, par peur de souffrir, d'être abandonné un jour. Et pourtant, qu'est ce qu'on aime la vie alors qu'on sait qu'elle vous quittera un jour.
Un dicton vietnamien dit: «Seuls ceux qui ont les cheveux long ont peur, car personne ne peut tirer les cheveux de celui qui en a pas.» Alors, j'essaie le plus possible de n'acquérir que des choses qui ne dépassent pas les limites de mon corps.
 Kim Thúy
La vérité c'est que tu as peur de vivre et c'est pour surmonter cette peur que tu es partie assister les autres. [...] Quel étrange destin que d'ignorer ceux qui t'aiment pour aller donner de l'amour à ceux que tu ne connaîtras pas !

Citations du même auteur

Il n'était plus jeune, tant s'en faut, et malgré une excellente santé, il ne réussissait plus à prendre au sérieux les projets à long terme qui lui venaient à l'esprit. Le temps commençait à lui être compté, la jeunesse de la femme le lui rappelait constamment [...] Femme sans passé, elle avait un avenir auquel il n'aurait pas accès. Il se contentait d'elle au présent, puisqu'elle ouvrait en lui les portes de la mémoire et, avec elles, celles d'une nostalgie de l'espoir qu'il ressentait lorsqu'il avait son âge.
 Jean Barbe
C'était cela l'amour, pensait-il : s'évanouir comme un souffle dans la chaleur d'une peau plus douce que la sienne, s'oublier et renaître.
 Jean Barbe
Il n'était plus jeune, tant s'en faut, et malgré une excellente santé, il ne réussissait plus à prendre au sérieux les projets à long terme qui lui venaient à l'esprit. Le temps commençait à lui être compté, la jeunesse de la femme le lui rappelait constamment [...] Femme sans passé, elle avait un avenir auquel il n'aurait pas accès. Il se contentait d'elle au présent, puisqu'elle ouvrait en lui les portes de la mémoire et, avec elles, celles d'une nostalgie de l'espoir qu'il ressentait lorsqu'il avait son âge.
 Jean Barbe