L'amour dont je débordais ...

L'amour dont je débordais était comme un torrent qui m'emmenait continuellement au ciel. Un jour, il me fallut bien redescendre sur terre.
 Franz-Olivier Giesbert

Citations liés

Maintenant que je suis à la fin de ma vie, je laisse à ceux qui viendront après moi ce que j'ai appris en cheminant sur la terre. Qu'ils en fassent bon usage.
Nous devons être les gardiens de cette planète. Nous devons prendre des mesures pour améliorer l'environnement et laisser un monde meilleur à nos enfants.
Suicide et meurtre sont ici deux faces d'un même ordre, celui d'une intelligence malheureuse qui préfère à la souffrance d'une condition limitée la noire exaltation où terre et ciel s'anéantissent.
La terre se couvre d'une nouvelle race d'hommes à la fois instruits et analphabètes,maîtrisant les ordinateurs et ne comprenant plus rien aux âmes,oubliant même ce qu'un tel mot a pu jadis désigner.
La quintessence de notre travail, c'est d'en venir à reconnaître l'existence de Dieu, d'en ressentir La présence, puis de constater, ce faisant, que la " terre entière est remplie de Sa gloire. "
 Yéhouda Ashlag

Citations du même auteur

Leur amour était comme une courge prête à éclater, sous les coups du soleil, avec tout ce jus vivant qui les gonflait de partout et suait déjà, sous leurs habits, les gouttes du bonheur.
 Franz-Olivier Giesbert
Le bonheur, ça ne se raconte pas. C'est comme une tarte aux pommes, ça se mange jusqu'à la dernière miette qu'on ramasse sur la table avant de lécher le jus doré qui macule les doigts.
 Franz-Olivier Giesbert
L'amour dont je débordais était comme un torrent qui m'emmenait continuellement au ciel. Un jour, il me fallut bien redescendre sur terre.
 Franz-Olivier Giesbert
Avec ce livre, j'ai voulu raconter en toute sincérité, sans fausse honnêteté, avec mes mots crus, comment et pourquoi la France a pu accoucher de Hollande.
 Franz-Olivier Giesbert
Il faut que je me défatigue, pour me retrouver. Sinon je vais mourir à la tâche. Travailler n'est pas humain. La preuve ça nous use. Mais travailler trop me fait perdre la raison. C'est ça qui me tue.
 Franz-Olivier Giesbert