Je suis de cœur avec les révoltés de l'An 68, ils éprouvaient ce que je sens, ils ne se concevaient eux-mêmes, d'où leur faiblesse, ils valaient mieux que leurs idées et leurs méthodes, nous reverrons demain ce que nous vîmes, nous sommes arrivés au point où la subversion est le dernier espoir, la légalité n'étant plus qu'une imposture.
Albert Caraco