Je croyais que la route ...

Je croyais que la route passait par l'homme, et que de là devait déboucher le destin.
 Pablo Neruda

Citations liés

On s'arrête à une pompe alors que l'on a même pas besoin d'essence, on rencontre quelqu'un et la vie déraille. Non, le destin n'est pas cruel. Il est bête à pleurer.
 Douglas Kennedy
A tout être humain ont été concédées deux qualités : le pouvoir et le don. Le pouvoir conduit l'homme à la rencontre de son destin ; le don l'oblige à partager avec les autres ce qu'il y a de meilleur en lui.
On ne prend pas rendez-vous avec le destin. Le destin empoigne qui il veut, quand il veut. Dans le sens de vos désirs, il vous apporte la plénitude. Mais le plus souvent, il déséquilibre et heurte. Alors, on subit.
 Mariama Bâ

Citations du même auteur

La vérité, c'est qu'il n'y a pas de vérité.
 Pablo Neruda
Je t’aime comme l’on aime certaines choses obscures, de façon secrète, entre l’ombre et l’âme.
 Pablo Neruda
La parole est une aile du silence.
 Pablo Neruda
De la même façon qu'il en coûterait beaucoup aux gens raisonnables d'être poète, il en coûte beaucoup peut-être aux poètes d'être raisonnables. Cependant la raison gagne la partie et c'est la raison, base de la justice, qui doit gouverner le monde.
 Pablo Neruda
Et il en émane une odeur non de pièce morte, non de sacristie et de toiles d'araignée, mais d'espace végétal, de rafales qui retombent soudain en ouragan de plumes, de feuilles, de pollen de la forêt sans fin...
 Pablo Neruda