J'ai une fleur à la main qui ...

J'ai une fleur à la main qui se fane, Ne sais à qui la tendre sur cette terre étrangère.
 Sayd Bahodine Majrouh

Citations liés

Maintenant que je suis à la fin de ma vie, je laisse à ceux qui viendront après moi ce que j'ai appris en cheminant sur la terre. Qu'ils en fassent bon usage.
Nous devons être les gardiens de cette planète. Nous devons prendre des mesures pour améliorer l'environnement et laisser un monde meilleur à nos enfants.
La terre se couvre d'une nouvelle race d'hommes à la fois instruits et analphabètes,maîtrisant les ordinateurs et ne comprenant plus rien aux âmes,oubliant même ce qu'un tel mot a pu jadis désigner.
La quintessence de notre travail, c'est d'en venir à reconnaître l'existence de Dieu, d'en ressentir La présence, puis de constater, ce faisant, que la " terre entière est remplie de Sa gloire. "
 Yéhouda Ashlag
Suicide et meurtre sont ici deux faces d'un même ordre, celui d'une intelligence malheureuse qui préfère à la souffrance d'une condition limitée la noire exaltation où terre et ciel s'anéantissent.

Citations du même auteur

Déjà le coq maudit et son triste chant de départ, Et mon amant s'en va comme un oiseau blessé.
 Sayd Bahodine Majrouh
Mon amant préfère les yeux couleur de ciel Et je ne sais où changer les miens couleur de nuit.
 Sayd Bahodine Majrouh
Elle chante exclusivement le destin du corps et privilégie un élément de cette réalité physique : le cœur. Il est le siège des émotions, de la joie et de la tristesse, d'espoirs passagers et de désespoirs profonds. Au point que le mot " cœur " s'utilise souvent comme pour se prendre soi-même à témoin. Par cet artifice, la chanteuse se dédouble et s'adresse le discours poétique. Le cœur se voit aussi parfois personnifié. Il est alors comparé à un oiseau, à une ruine, à une fontaine de sang, à un four fermé qui dévore ses propres flammes.
 Sayd Bahodine Majrouh
Viens mon amour que je t'enlace, Je suis la lierre fragile que l'automne bientôt emportera.
 Sayd Bahodine Majrouh
Cependant, si la femme pashtoune invite l'homme à l'amour, jamais elle ne l'attire par sa tendresse ou par sa douceur. Elle le provoque dans son honneur et dans sa dignité, mais à ce jeu d'audace, c'est elle qui prend le plus de risques. Car l'homme peut se défendre, s'enfuir, se réfugier dans un pays lointain, tandis que la femme ne possède pas de tels recours. Découverte, elle n'a qu'à se laisser massacrer. Pourtant cette orgueilleuse ne consent aucune allusion à l'évident danger qui la guette. Elle se contente seulement d'encourager l'homme, le vaillant guerrier, à prendre quelques risques.
 Sayd Bahodine Majrouh