Ce n'est pas le marteau qui a rendu ces pierres si parfaites, mais l'eau, avec sa douceur, sa danse et sa chanson. Là où la dureté ne fait que détruire, la douceur parvient à sculpter.
L'amour fait mal. La danse fait mal. La vie fait mal. Mais ce n'est pas une raison pour vivre planqué, Ptichka. Allez, va te laver le visage sous l'eau. Il est temps de reprendre la danse.
On ne peut guère s'attacher à plusieurs choses à la fois, mais il faut être soi tout entier pour une ou deux de ces choses essentielles. Hors de cela on est broyé sans espoir et notre conscience se détourne de nous.