Ils montaient dans la nuit et ...

Ils montaient dans la nuit et la paix, vers le ciel étoilé, ils oubliaient la Terre et ses horreurs absurdes. Ils étaient ensemble, ils étaient bien, chaque instant de bonheur était une éternité.
 René Barjavel

Citations liés

S'il fallait définir la joie de vivre, le bonheur d'exister, ce serait cet éclat de rire, une apothéose, ma récompense bénie, un beaume descendu du ciel.
 Frédéric Beigbeder
Notre vie est un voyage dans l'hiver et dans la nuit nous cherchons notre passage dans le ciel ou rien ne luit
 Louis-Ferdinand Céline
A mesure que le ciel pâlissait, les chiens s'aventuraient plus loin et je suppose que la chose essentielle quand on aime quelqu'un, c'est que votre amour vous donne une immense envie de continuer à vivre.
 Jim Harrison
Dieu ne nous laisse pas vivre n'importe où, n'importe comment sur terre, sans placer une parcelle du Ciel à porter notre main.
 Nathaniel Hawthorne

Citations du même auteur

— C'est diabolique, murmura Hono. — Laissez donc le diable tranquille, dit M. Gé, l'homme suffit...
 René Barjavel
Le temps s'enfuit que si on lui court après. — La licorne, dit-il, n'accepte que ce qui est parfait. Les habitudes, les petites indifférences, les humeurs, les joies pas tout à fait réussies, l'indulgence, tout ce qui fait finalement la vie d'un couple, et la rend possible, cela la blesse et la fait saigner. Les femmes aussi, parfois. La licorne s'en va, les femmes restent.
 René Barjavel
L'énergie universelle, l'énergie qu'on prend partout, qui ne coûte rien, et qui fabrique tout, c'était la ruine des trusts du pétrole, de l'uranium, de toutes les matières premières. C'ÉTAIT LA FIN DES MARCHANDS.
 René Barjavel
L'inutile et le superflu sont plus indispensables à l'homme que le nécessaire. Le chant du merle est inutile, la rose est superflue. Le travail est nécessaire...
 René Barjavel
Depuis qu'il avait vu Viviane, il (Merlin) savait qu'elle pouvait être pour Arthur, sur le chemin du Graal, un obstacle plus haut que les montagnes du pays des Saines dont le sommet gratte la plante des pieds de Saint Pierre à la porte du Paradis.
 René Barjavel