Mais les jeunes d'aujourd'hui, se disait-il, ne sont qu'un ramassis de couards dépourvus de l'allant, de la vigueur, de l'énergie qui animaient la jeunesse de mon temps.
Il faut, un jour d'énergie, prendre le livre que l'on tient pour ennuyeux, lui ordonner d'être, essayer de reconstituer l'intérêt qu'y a pris l'auteur.
Ces trois minuscules nations ont appris au monde qu'il n'est pas de plus puissante arme que l'amour. Quelle que soit la nature de cet amour- qui peut aller jusqu'à pardonner à ses ennemis-, il nous révèle la force miraculeuse de l'esprit humain.
On était au fond du gouffre et on avait essayé d'atteindre le ciel. Je compris soudain que si on se soutenait les uns les autres, on en serait peut-être moins éloignés.