La misère ne s'empreint pas seulement sur les vêtements ; elle s'empreint sur la beauté. Cela se mêle au point qu'on pourrait dire que le vêtement devient maigre et le visage pauvre.
Nos vies sont faites de tout un réseau de voies inextricables, parmi lesquelles un instinct fragile nous guide, équilibre toujours précaire entre le cœur et la raison.
Bien peu d'hommes ont la trempe qu'exige un grand destin et peu de femmes sauraient vivre à l'âge adulte le grand amour romantique de leurs rêves de jeunesse.