La jeunesse n'ose pas se regarder au miroir de la conscience quand elle verse du côté de l'injustice, tandis que l'âge mûr s'y est vu : là gît toute la différence entre ces deux phases de la vie.
Enfermé entre quatre murs ( au nord, le cristal du non-savoir, paysage à inventer ; au sud, la mémoire sillonnée; à l'est, le miroir ; à l'ouest, la pierre et le chant du silence), j'écrivais des messages sans réponse, détruits à peine signés.
Tristesse, j'ai bâti ta maison, et les arbres Mélangent leur jaspure aux taches de tes marbres, Tristesse, j'ai bâti ton palais vert et noir Où l'if du deuil s'allie aux myrtes de l'espoir ;