Ecrire c'est comme le métro. ...

Ecrire c'est comme le métro. Vous savez où vous allez, vous n'avez pas un choix infini de destinations, il y a des horaires à respecter,des zones obscures et de plus, ça n'est pas toujours agréable.
 J. M. G. Le Clézio

Citations liés

L'amour, c'est l'absolu, c'est l'infini ; la vie, c'est le relatif et le limité. De là tous les secrets et profonds déchirements de l'homme quand l'amour s'introduit dans la vie. Elle n'est pas assez grande pour le contenir.
C'est marrant, quand on est libre de faire tout ce qu'on veut, on finit par ne pas faire grand chose. Quand le choix est infini, il n'y a pas de choix possible.
 Jonathan Coe
Réserver son jugement implique un espoir infini.
 Francis Scott Fitzgerald
Le nombre infini de positions que peut prendre un corps de femme me donne le vertige.
 Georges Wolinski
Ce qui est en vous est infini occupe la demeure céleste, dont la porte est la brume matinale et dont les fenêtres sont les chants et les silences de la nuit.

Citations du même auteur

Je me souviens du regard de l'enfant qui était avec nous. Il me brûlait d'une question sans réponse. Je sais maintenant ce qu'était cette question. Il me demandait, comment peut-on tuer ce qu'on aime ?
 J. M. G. Le Clézio
Il y a un indicible bonheur à savoir tout ce qui en l'homme est exact. Cette vérité qui n'aboutit pas, car elle ne peut que rester relative, est sans doute le plus exigeant, le plus harassant des bonheurs.
 J. M. G. Le Clézio
Maintenant je le sais bien. On ne partage pas les rêves.
 J. M. G. Le Clézio
Avoir trop de passé fait rêver à ne plus en avoir du tout. Mais quand on écrit et qu'on de la mémoire, la magie du roman consiste justement à vaincre cette difficulté : faire partager aux autres un souvenir somme toute très limité.
 J. M. G. Le Clézio
L'Afrique, c'était le corps plutôt que le visage. C'était la violence des sensations, la violence des appétits, la violence des saisons.
 J. M. G. Le Clézio