Maintenant je le sais bien. ...

Maintenant je le sais bien. On ne partage pas les rêves.
 J. M. G. Le Clézio

Citations liés

Partager ce que nous avons avec les autres, c’est ouvrir notre coeur à la bonté et au bonheur.
C'est un bijou de famille... un souvenir de mes grands-parents et de mes parents... cette montre qui a partagé leur vie est la preuve que deux générations de ma famille ont connu le véritable amour.
 Tsukasa Hojo
Mon père m'avait prévenu : la tristesse se cramponne à la tristesse et les dépressifs se promènent en bande avec un air de chien battu. Il n' y a pas pire raison pour se lier d'amitié qu'un désastre partagé.
 Chris Adrian
Malheur à l'homme qui oubliant son devoir de merveilles, a, par vœu de puissance ou par avidité, trahi la main tendue et le rite de partage. Mais honneur à ceux qui vont et viennent et partagent avec l'autre la douceur de la halte.
 Lyonel Trouillot

Citations du même auteur

Je me souviens du regard de l'enfant qui était avec nous. Il me brûlait d'une question sans réponse. Je sais maintenant ce qu'était cette question. Il me demandait, comment peut-on tuer ce qu'on aime ?
 J. M. G. Le Clézio
Il y a un indicible bonheur à savoir tout ce qui en l'homme est exact. Cette vérité qui n'aboutit pas, car elle ne peut que rester relative, est sans doute le plus exigeant, le plus harassant des bonheurs.
 J. M. G. Le Clézio
Avoir trop de passé fait rêver à ne plus en avoir du tout. Mais quand on écrit et qu'on de la mémoire, la magie du roman consiste justement à vaincre cette difficulté : faire partager aux autres un souvenir somme toute très limité.
 J. M. G. Le Clézio
Vous dites des choses, vous avez mal et vous pensez que vous pouvez en mourir, et quelques années plus tard ce n'est plus qu'un souvenir.
 J. M. G. Le Clézio
L'Afrique, c'était le corps plutôt que le visage. C'était la violence des sensations, la violence des appétits, la violence des saisons.
 J. M. G. Le Clézio