Comment faire peur à un ...

Comment faire peur à un homme quand son ventre crie famine, quand la faim tord les entrailles de ses petits? Rien ne peut plus lui faire peur - il a connu la pire des peurs.
 John Steinbeck

Citations liés

L'homme n'a pouvoir sur rien tant qu'il a peur de la mort. Et celui qui n'a pas peur de la mort possède tout. Si la souffrance n'existait pas, l'homme ne se connaîtrait pas de limites, il ne se connaîtrait pas lui-même.
 Léon Tolstoï
Tu vois, c'est marrant, on se donne toutes les bonnes raisons de s'interdire d'aimer, par peur de souffrir, d'être abandonné un jour. Et pourtant, qu'est ce qu'on aime la vie alors qu'on sait qu'elle vous quittera un jour.
Un dicton vietnamien dit: «Seuls ceux qui ont les cheveux long ont peur, car personne ne peut tirer les cheveux de celui qui en a pas.» Alors, j'essaie le plus possible de n'acquérir que des choses qui ne dépassent pas les limites de mon corps.
 Kim Thúy
La vérité c'est que tu as peur de vivre et c'est pour surmonter cette peur que tu es partie assister les autres. [...] Quel étrange destin que d'ignorer ceux qui t'aiment pour aller donner de l'amour à ceux que tu ne connaîtras pas !

Citations du même auteur

Lorsque notre nourriture, nos vêtements, nos toits ne seront plus que le fruit exclusif de la production standardisée, ce sera le tour de notre pensée. Toute idée non conforme au gabarit devra être éliminée.
 John Steinbeck
Pour l'homme né sans conscience, l'homme torturé par sa conscience doit sembler ridicule.Pour le voleur,l'honnêteté n'est qu'une faiblesse. N'oubliez pas que le monstre n'est qu'une variante et que, aux yeux du monstre, le normale est monstrueux.
 John Steinbeck
L'été est le temps des rêves et des souvenirs.
 John Steinbeck
Le bien le plus précieux est le cerveau isolé de l'homme.
 John Steinbeck
Pour l'homme né sans conscience, l'homme torturé par sa conscience doit sembler ridicule.Pour le voleur,l'honnêteté n'est qu'une faiblesse. N'oubliez pas que le monstre n'est qu'une variante et que, aux yeux du monstre, le normale est monstrueux.
 John Steinbeck