Comme Job, on m'avait tout ...

Comme Job, on m'avait tout pris, mon rabbin, ma terre, mon père; comme Job en sa fragilité, il m'était envoyé quelqu'un sous les traits de la femme pour tendre un piège abominable à ma faiblesse humaine. Car elle était femme! Si délicieusement, avec sa bouche parfois ombrée de prune, ses pantalons serrés sur ses hanches, ses jupes fendues de dos et ses grands talons.
 Eliette Abécassis

Citations liés

Maintenant que je suis à la fin de ma vie, je laisse à ceux qui viendront après moi ce que j'ai appris en cheminant sur la terre. Qu'ils en fassent bon usage.
Nous devons être les gardiens de cette planète. Nous devons prendre des mesures pour améliorer l'environnement et laisser un monde meilleur à nos enfants.
La terre se couvre d'une nouvelle race d'hommes à la fois instruits et analphabètes,maîtrisant les ordinateurs et ne comprenant plus rien aux âmes,oubliant même ce qu'un tel mot a pu jadis désigner.
La quintessence de notre travail, c'est d'en venir à reconnaître l'existence de Dieu, d'en ressentir La présence, puis de constater, ce faisant, que la " terre entière est remplie de Sa gloire. "
 Yéhouda Ashlag
Suicide et meurtre sont ici deux faces d'un même ordre, celui d'une intelligence malheureuse qui préfère à la souffrance d'une condition limitée la noire exaltation où terre et ciel s'anéantissent.

Citations du même auteur

La condition féminine aujourd'hui n'est plus définie par la soumission et le problème du pouvoir, mais par le corset invisible que chaque femme porte en elle.
 Eliette Abécassis
L'absence n'est rien d'autre qu'une présence obsédante.
 Eliette Abécassis
L'amour au début est ardent et passionnel, schizophrène et maniaco-dépressif comme le bébé, puis il grandit et il devient mûr, solide, réfléchi, il se pose, il s'élève alors, mais nous ne le savons pas, nous disons tout simplement qu'il cesse.
 Eliette Abécassis
Mais où commence l'adultère ? Au premier regard ? Au premier baiser ? A la première caresse ? ne l'étais je pas déjà ? l'adultère commence au premier regard, en effet : celui que votre mari ne vous accorde plus
 Eliette Abécassis
Car la vraie liberté s'ignore. Elle semble aller de soi. On n'en prend conscience que lorsqu'on la perd ; et dès qu'on en prend conscience, c'est qu'on l'a perdue.
 Eliette Abécassis